Fabricant dissipateur Caloducs fanless appareils électromédicaux

La norme IEC 60601-1 fait partie des normes couramment appliquées dans le domaine des dispositifs médicaux, elle définit les exigences en matière de sécurité et de performances essentielles applicables aux appareils électromédicaux.

La première publication date de 1977, la version IEC 60601-1:2005 correspond à la révision 3.0. Elle est nécessaire en vue de la certification CE d’un dispositif électro-médical. Aavid Thermacore fabrique des solutions de dissipation thermique SANS ventilateurs et donc evite de propager poussiere et infection autour du patient.

La sélection de la technologie appropriée améliore les performances et permet aux concepteurs d’obtenir des packaging plus petits, de prolonger la durée de vie des composants électroniques et de répondre aux normes de température tactile dans les dispositifs biomédicaux. l’idée et de ne pas bruler le patient mais de le soigner en lui procurant l’expérience la moins désagréable possible.

Les dispositifs, boîtiers et systèmes biophotoniques médicaux sont sujets à une variabilité des performances et à des défaillances à des températures élevées en raison des contraintes thermomécaniques et de la dégradation corrosive (nettoyage détergents). Mais les performances optiques dépendent du comportement cohérent des matériaux et des composants. Les appareils avec des densités de puissance élevées qui créent des points chauds, ce qui peut nuire aux performances, sont particulièrement problématiques. En conséquence, les concepteurs de lasers biomédicaux, de LED haute puissance et de diodes superluminescentes évaluent les solutions de gestion thermique bien plus tôt dans le processus de conception. nous pouvons effectivement vous aider en phase amont afin de travailler en « best cost », c’est plus difficile quand votre produit a déja passé la PDR et CDR. ( PDR : Preliminary Design Review c’est S’assurer que la conception de l’objet peut répondre aux exigences du client final. Est-ce faisable? sous quelles conditions et cela rentre t il dans l’enveloppe budgetaire ? CDR : Critical Design Review S’assurer que la conception de l’objet répond aux exigences ? )

exemple de dissipateur thermique en extrusion d’aluminium qui utilise la convection naturelle pour eviter le brassage de poussière d’un ventilateur.

Avec une gestion thermique appropriée, un concepteur peut réduire la taille et le poids, réduire la consommation d’énergie et améliorer la fiabilité et la précision. Une bonne gestion thermique peut également prolonger la durée de vie opérationnelle de l’appareil et aider les concepteurs à respecter les limites de température, y compris les températures de contact CEI 60601. Les applications biophotoniques vont des lasers chirurgicaux et cosmétiques aux équipements d’imagerie et aux instruments de diagnostic. Compte tenu de cette diversité, il convient de considérer les avantages des différents types de gestion thermique.

Les défis thermiques d’aujourd’hui dans les dispositifs médicaux

Les Filtres optiques, les collimateurs, les diodes laser, les détecteurs et autres composants à flux thermique élevé produisent des charges thermiques concentrées qui doivent être dissipées. Sinon, à mesure que les températures changent, les matériaux avec différents coefficients de dilatation thermique (CTE) se dilatent et se contractent à des vitesses différentes, induisant une contrainte mécanique sur l’assemblage. Comme pour la plupart des composants électroniques, la durée de vie opérationnelle des composants optoélectroniques diminue avec des températures de fonctionnement plus élevées et peut être exprimée par loi d’Arrhenius. (En cinétique chimique, la loi d’Arrhenius permet de décrire la variation de la vitesse d’une réaction chimique en fonction de la température.)

Les déplacements provoqués par des flux thermiques microscopiques sont associés au fluage, aux déformations sous contrainte et au vieillissement du matériau qui compromettent les performances et la longévité du dispositif biophotonique. Les dispositifs médicaux présentent des défis thermiques supplémentaires. La norme CEI 60601 définit les limites de «température de contact» admissibles pour les dispositifs médicaux qui peuvent entrer en contact avec les patients ou le personnel. Les températures admissibles peuvent être aussi basses que 43 ° C pour les métaux, avec des températures légèrement plus élevées autorisées pour les matériaux moins conducteurs, tels que les plastiques.

Les solutions thermiques courantes pour les dispositifs photoniques vont des dissipateurs de chaleur entièrement métalliques aux technologies plus avancées telles que les chambres à vapeur en métal réfractaire et les plaques froides en métal poreux. Ils incluent également des matériaux d’interface thermique (TIM), bien que les TIM soient davantage un accessoire utilisé en conjonction avec presque toutes les solutions thermiques.

Matériaux d’interface thermique sont souvent utilisés entre les composants (matelas thermiques, pad, graisse thermique…) du système thermique pour assurer un contact constant et un transfert de chaleur fiable. Les lignes de liaison doivent être aussi minces que possible car ces matériaux ont de mauvaises conductivités thermiques (attention aux valeurs commerciales présentées). Cependant, des vides peuvent apparaître si la ligne de liaison est trop fine, ce qui peut avoir un impact majeur sur les performances. Les TIM sont disponibles dans de nombreuses options, telles que des PADs , des graisses, des feuilles, des matériaux à changement de phase (PCM), des colles époxy et des soudures (brasures).

Les métaux réfractaires permettent aux plans de masse thermiques (TGP) de se fixer directement aux matrices de composants électroniques.

Le choix du TIM approprié dépend généralement des exigences associées à la conformité dimensionnelle, à la conductivité thermique, à l’enlèvement, à la conductivité électrique, à la compatibilité chimique et à la méthode de fixation autorisée. la quantité peut aussi avoir un impact dans la selection, si on part sur une dépose automatique

Les brasures sont connues pour être les plus performantes; Cependant, ils peuvent être difficiles à travailler, nécessitent une exposition à des températures élevées et sont destinés à une fixation permanente. Ceux-ci sont suivis par les colles époxy à « haute » conductivité thermique, qui sont plus faciles à travailler, bien qu’ils aient des conductivités thermiques plus faibles et soient également destinés à une fixation permanente. Les graisses ou pâtes thermiques fonctionnent de la même manière que l’époxy. Bien qu’ils soient salissants et puissent éventuellement sécher, ils permettent un démontage facile. Attention à la migration des silicones lors des stockages.

Contactez Management-Thermique.fr pour un devis rapide et une explication en français des possibilités pour répondre à votre projet, nos offres sont faites dans un objectif de meilleur prix pour la spécification, meilleur délais en évitant un maximum de sous-traitance et la meilleure technologie pour toujours être en accord avec  les températures de contact CEI 60601

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Fabricant Européen de Caloducs Anti-gravitaires

Depuis 1970 et encore aujourd’hui en 2020,  une société près de Newcastle fabrique des caloducs pour tous les domaines d’activités

Des plus « rustiques » de plusieurs kilowatts pour le refroidissement des convertisseurs de locomotive (traction ferroviaire) jusqu’à des caloducs antigravitaire qualifiés par l’ESA (Agence Spatiale Européenne).

La question que tout le monde nous pose… « Pourquoi des caloducs antigravitaires vu que dans l’espace il n’y a pas de gravité » ? Il s’agit d’une très bonne question et effectivement vous avez raison, une fois là-haut dans l’espace, le satellite s’en fiche de nos caloducs antigravitaire.

Voici deux éléments de réponses :

  1. quand nous fournissons des caloducs pour une payload spatiale, par exemple 150 Watts à transporter sur 40cm (d’une série de processeurs, vers un point froid), on garantit toujours une performance de 150 watts en antigravitaire, c’est à dire l’évaporateur « en haut » et le condenseur « en bas », c’est donc une performance acquise, minimale dans tous les cas de figures.
  2. La Charge utile ( payload) du Client va subir des tests sévères sur terre pour la qualifications et pour la production, durant ces test, cette charge utile va être montée dans un Bus (la carcasse du satellite) DANS N’IMPORTE QUELLE ORIENTATION…. on ne maitrise donc pas ce qui va être vers le haut ou vers le bas… le fait de garantir des caloducs antigravitaire à 100% de performance minimum quelle que soit l’orientation est l’assurance de ne pas griller les processeurs en dépassant le Tc et donc le Tj des composants critiques.
  3. pour s’assurer de la qualité des caloducs, il est impératif de travailler en LOT et de faire des Lot Acceptance Test comme les composants électroniques. Acheter un lot de caloducs low-cost sur l’étagère et c’est la panne assurée. (fuite, mauvaise conduction, freeze test HS..)

Contactez Managenent-Thermique.fr pour un devis rapide et une explication en francais des possibilités pour répondre à votre projet, nos offres sont faites dans un objectif de meilleur prix pour la spécification, meilleur delais en evitant un maximum de sous-traitance et la meilleure technologie qualifiée avec un héritage TRL9

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Essai cyclique de chaleur humide IEC 60068-2-30

Beaucoup de nos donneurs d’ordres EPC, Assembleurs, Tôliers et bien Sur ingénierie Électronique viennent avec des problèmes d’actualités.
Les variations de températures très grandes (Forts Orages, Temps très lourds, froid et chaud rapide) amènent beaucoup de systèmes embarqués à planter lamentablement.
ce qui revient le plus souvent ces dernières semaines : notre dissipateur, pourtant énorme, ou notre plaque froide pourtant bien dimensionnée est recouverte de gouttes d’eau et cela coule sur tel boitier ou pire dans telle carte ! ou encore « la rigidité diélectrique est mise à mal à cause de toute cette humidité ruisselante sur l’interface thermique en kapton ». notre boitier est pourtant étanche, mais avec ces phénomènes rapides, on a de la succion d’air humide qui condense sur le système de refroidissement…
C’est là que la norme IEC 60068-2-30 intervient, plus particulièrement la Partie 2-30 où il sera fait des essais cycliques de chaleur humide (cycle de 12 h + 12 h)

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Dissipation thermique dans les systèmes électroniques

Concours de Centrale 2015 : regardez le point IV Dissipation thermique dans les systèmes électroniques…

Concours 2015 Physique-Chimie 1
Loi de Moore :
Numérisation avant stockage ; les matériaux ; conductivité dans les conducteurs ; dissipation thermique dans les systèmes électroniques
Enoncé

pour bien répondre à ces questions, il faut rechercher les points suivant sur internet…

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